Blog de Vox Mundus
Tête de liste pour Les Engagés au Parlement bruxellois, Christophe De Beukelaer, publie «Au-delà du bruit», une compilation d’idées pour la Belgique de demain. Parmi celles-ci, l’émergence d’une Belgique à quatre Régions et d’une culture du référendum. Interview.
Dans "Au-delà du bruit- dix solutions pour notre avenir" (Editions Weyrich - 18€), Christophe De Beukelaer plaide notamment pour une Belgique à quatre Régions. ©Belga / D.R.
C’est une nouvelle règle du jeu dans l’univers de la politique à l’ère numérique : un flot continu de contenus générés artificiellement caractérise désormais les campagnes électorales, avec l’essor d’outils gratuits, comme le clonage des voix ou l’édition d’images.
Au Pakistan, les dernières législatives [en 2018] témoignaient déjà d’une sophistication croissante des campagnes numériques : création de faux comptes, bombardements coordonnés de hashtags, applis mobiles personnalisées, organisation de grands événements à partir des réseaux sociaux… Et, en février 2024, le pays va vivre sa plus grande élection dématérialisée. Les partis politiques sont naturellement tentés de franchir un nouveau cap avec l’intelligence artificielle [IA].
“On s’est servis de l’IA pour créer des contenus de campagne pour...
Le président catalan Artur Mas a convoqué samedi pour le 9 novembre un référendum sur l'indépendance de cette riche région de l'Espagne, défiant le gouvernement de Madrid qui veut empêcher cette consultation.
Le gouvernement espagnol a prévu de se réunir lundi pour faire appel au Tribunal constitutionnel contre cette consultation qui selon lui viole la
Constitution. Cet appel suspendra automatiquement le décret de convocation signé solennellement par Artur Mas au palais de la Generalitat, le gouvernement catalan.
Quelque 4,29 millions d’Écossais se rendaient jeudi aux urnes lors d'un référendum qui devrai trancher sur l'indépendance, ou pas, de cette région du Royaume-Uni, dont l'enjeu est l'unité territoriale d'une union bâtie depuis plus de trois siècles.
Les 2.600 bureaux de vote écossais ont ouvert leurs portes à 07H00 locales (06H00 GMT) et fermeront à 22H00 (21H00 GMT). Les premiers résultats sont attendus vendredi au petit matin.
Au total, quelque 4,29 millions d'électeurs - dont 600.000 ont déjà voté par correspondance - étaient appelés aux urnes.
Les instituts de sondage ont prédit une courte victoire du non, rattrapé en fin de campagne par le oui, mais avec une avance se situant dans la marge d'erreur de 3%.
La région séparatiste d’Ossétie du Sud devrait organiser un référendum sur son rattachement à la Russie.
La région séparatiste d’Ossétie du Sud devrait organiser un référendum sur son rattachement à la Russie. Pour rappel, en août 2008, un conflit armé éclair avait opposé la Géorgie à la Russie pour le contrôle de l’Ossétie du Sud et de l’Abkhazie, une autre région sécessionniste. Après la guerre, Moscou avait reconnu l’indépendance des deux régions, contrairement à la majeure partie de la communauté internationale. Hier, Leonid Tibilov, président de la République autoproclamée, a présenté son projet au Kremlin. « La réalité politique actuelle est telle que nous devons faire un choix historique et nous réunir avec notre fraternelle Russie afin d’assurer pendant des décennies la sécurité et le succès de notre république », a-t-il déclaré. « Le référendum, dont je ne doute pas de l’issue positive, nous permettra de réunir notre peuple. » Aucune date n’a été donnée pour cette consultation dont les...
Michelle O'Neill, 47 ans, est devenue la première responsable politique favorable à l'unification à être nommée, ce samedi, à la tête du gouvernement nord-irlandais.
Après deux ans de paralysie politique, Michelle O'Neill, 47 ans, est devenue la première responsable politique favorable à l'unification à être nommée à la tête du gouvernement nord-irlandais. «Mon élection au poste de Première ministre démontre le changement qui est en train de se produire sur cette île», a-t-elle déclaré dans une interview diffusée dimanche sur la chaîne Sky News .
L’application de vote électronique est accessible à partir du site web de l’INAMI http://www.inami.fgov.be. Il vous suffit de cliquer sur le lien intitulé Élections médicales 2018 qui est mis en évidence sur la page d’accueil.
Imaginez une table ronde. Vous êtes entouré de cinq autres personnes, amenant le nombre total de convives à six. Vous voulez prendre une série de décisions importantes pour la tablée et avez organisé un système de tour de table. Pourtant, à chaque tour, une personne se tait. Parfois par choix, parfois par impossibilité. Quelquefois, cette personne, c’est vous. Une personne sur six. C’est le pourcentage de Belges qui n’ont pas voté, ou voté blanc ou nul lors des dernières élections de 2019. Soit 1,3 million de personnes. La tradition du vote obligatoire a longtemps maintenu dans l’ombre la question de la participation électorale en Belgique. lire la suite ...
Les élections sont des moments essentiels pour la démocratie. Et il est également essentiel qu'un maximum d'électeurs potentiels puissent poser ce geste important et puissant pour la revivifier.
A la demande d'UNIA, l'UVCW publie bien volontiers l'infofiche qu'UNIA vient de publier sur le droit de vote pour tous en 2024.
"En juin et en octobre 2024, les citoyens seront appelés à prendre part à de nouvelles élections qui redessineront le paysage politique de notre pays et de ses entités fédérées. Unia espère que toutes les voix seront entendues, y compris celles des personnes qui rencontrent des obstacles supplémentaires à l'exercice du droit de vote.
Voilà pourquoi Unia vient de publier une infofiche qui a pour objectif principal d’informer ou rappeler à la société civile et aux institutions :?
Dans un communiqué reçu par Sénégal7,la Direction Générale des Elections (DGE) informe que la carte électorale (listes des bureaux de vote) a été fixée par arrêt n°001786 du 23 janvier 2024.
La réunion du pacte d’État aborde la stratégie de communication
ANDORRA LA VELLA (ANDORRE), 29 janvier (EUROPA PRESS) –
Le gouvernement d’Andorre prévoit que le référendum sur l’accord d’association avec l’Union européenne (UE) pourrait être reporté au début de 2025.
C’est ce qu’a déclaré le chef du gouvernement, Xavier Espot, dans des déclarations aux médias après la réunion du pacte d’État pour l’accord d’association, qui s’est tenue ce lundi après-midi.
Espot a précisé qu’une fois les négociations terminées et avec un texte rédigé principalement en français, le texte devra être finalisé, traduit en anglais, dans toutes les langues officielles de l’UE et « dans notre langue officielle ».
Par la suite, « toutes les procédures de ratification » commenceront, d’abord par le Parlement européen, puis au niveau interne andorran.
En ce sens, le chef du gouvernement andorran a souligné qu’« on ne sait...
Oui Vol D'election est partout ou il y a une fausse démocratie.
C'est ce que le gouvernement américain et les médias appellent des élections 100 % sûres et sécurisées. Des personnes décédées soumettent leur demande de vote 2 jours après leur décès légal Il s'agit d'une entreprise de fraude électorale hautement organisée
Vidéo.
DEXIT ? En pleine ascension dans les sondages mais au cœur de manifestations, le parti AfD envisage d’organiser un référendum sur une sortie de l’Allemagne de l’Union européenne s’il parvient au pouvoir
Les prochaines élections législatives auront lieu en 2025 et l’AfD y présentera pour la première fois un ou une candidate à la chancellerie. Le parti allemand d’extrême droite, en pleine ascension dans les sondages, envisage d’organiser un référendum sur une sortie de l’Allemagne de l’Union européenne s’il parvient au pouvoir, a déclaré sa codirigeante Alice Weidel dans une interview publiée lundi.
« Si une réforme n’est pas possible, si nous ne parvenons pas à reconstruire la souveraineté des Etats membres de l’UE, nous devrions laisser le peuple décider, comme l’a fait le Royaume-Uni », a déclaré Alice Weidel au Financial Times. « Nous pourrions organiser un référendum sur le Dexit - une sortie de l’Allemagne de l’UE », a-t-elle ajouté, saluant comme « un modèle pour l’Allemagne » la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne après le référendum de 2016.
Volonté de gouverner
Portée par des sondages records qui la placent depuis plusieurs mois en deuxième position sur le plan national (autour de 22 %),
Plus de 50’000 personnes ont signé le référendum contre la loi qui veut booster les énergies renouvelables en Suisse. Suspense jusqu’au 18 janvier.
Le débat autour de la loi sur les énergies renouvelables pourrait reprendre de plus belle. Un référendum, lancé à la surprise générale par deux Lire la suite ...
La course à la Maison Blanche est officiellement lancée. Dans l'Iowa, les premiers républicains sont appelés à voter pour désigner le candidat de leur parti à la présidentielle de novembre lundi 15 janvier. Depuis cinquante ans, ce petit État rural ouvre le bal des primaires, ce qui lui offre une place de choix sur la scène politique américaine.
Avec ses champs de maïs à perte de vue, sa capitale au nom français – Des Moines – l'Iowa, petit État rural du Midwest, est le premier à tenir son caucus républicain. Lundi 15 janvier au soir, les électeurs républicains se réuniront dans des écoles, des églises ou des pubs pour choisir qui de l'ancien président américain Donald Trump, du gouverneur de Floride Ron DeSantis ou de l'ancienne ambassadrice de l'ONU Nikki Halley les représentera dans la course à la Maison blanche.
Un premier test grandeur nature qui donne à ce petit État d'à peine trois millions d'habitants – moins de 1 % de la population des États-Unis –, une place disproportionnée dans la vie politique américaine. Et ce depuis plus de 50 ans. Lire la suite
Rare analyste à avoir entrevu les défaites de Hillary Clinton face à Barack Obama et à Donald Trump, Marie-Christine Bonzom a couvert sept présidentielles et cinq présidences. À l’invitation du Devoir, elle pose ponctuellement son oeil d’experte sur la campagne présidentielle de 2024.
Tandis que les scrutins primaires, premier grand rouage du mécanisme d’une présidentielle étasunienne, démarrent lundi, les Américains sont très préoccupés par l’état de leur démocratie.
Sondage après sondage, la « démocratie » est un sujet prioritaire pour la grande majorité des Américains. Selon une étude pour Associated Press, elle est leur plus gros souci, juste après l’économie. L’institut Gallup trouve lui aussi que les questions liées à la démocratie constituent le problème non économique le plus souvent mentionné par les Américains. D’après Associated Press, 10 % d’Américains seulement pensent que leur démocratie fonctionne Lire la suite ...
Le Gouvernement jurassien a indiqué qu’il souhaitait que les communes utilisent toutes la même application pour les élections en réponse à une question écrite du député du Centre Bernard Studer en lien avec le bug informatique des fédérales.
Le Gouvernement jurassien tire des enseignements du bug informatique survenus lors des dernières élections fédérales. Le 22 octobre dernier, les résultats se sont fait attendre durant des heures. En cause : un problème au niveau de la solution d’importation des résultats traités avec les applications des communes vers celle utilisée par le canton. Le député du Centre Bernard Studer a alors interpelé le Gouvernement sur l’avenir de ce procédé via une question écrite.
Dans sa réponse, l’Exécutif ne cache pas une certaine volonté d’uniformité. Selon lui, l’objectif a toujours été d’utiliser un seul logiciel, mais il y existe des contraintes légales. Pour imposer un logiciel unique aux communes, il faut une modification de la loi. Une proposition sera prochainement mise en consultation. En cas d’acceptation du Parlement, le nouveau cadre légal permettra d’imposer aux communes l’utilisation d’une seule solution informatique pour les élections fédérales, cantonales, mais aussi pour les communales. Le Gouvernement précise qu’il n’a pas l’intention de rendre ces prestations payantes. Lire la suite ...
Le PS va lancer lundi sa "Grande Consultation citoyenne" afin de déterminer les projets à prioriser en vue des prochaines élections, à l'instar de celle qu'il avait déjà menée lors de la campagne de 2019, a annoncé le parti socialiste dimanche soir.
Dès le lundi 15 janvier, et jusqu'à la fin de la semaine, les habitants de Wallonie et de Bruxelles recevront une brochure les invitant à donner leur avis sur 15 propositions phares du parti, liées à de grands enjeux de société. Les citoyens auront alors un mois pour répondre à cette enquête. Il sera également possible de donner son avis sur le site www.monaviscompte.be. Lire la suite ...
Le 13 janvier, les membres du Parti progressiste-conservateur voteront pour ou contre l’adoption d’un ensemble de règles.
Des règles qui pourraient changer le système de vote pour les élections de la chefferie. Un nouveau système de point qui risque de diviser le parti.
À la mi-janvier 2024, les délégués du Parti progressiste-conservateur du Manitoba voteront pour faire changer ou non, les règles qui encadrent l’élection de leur chef de parti. Après sa défaite aux élections provinciales du 3 octobre, Heather Stefanson, devenue la cheffe de l’Opposition, avait annoncé qu’elle céderait son poste de dirigeante du Parti. De nouvelles élections se dessinent donc à l’horizon.
Une décision de revoir l’ensemble de règles, qui fait suite aux problèmes rencontrés lors des dernières élections pour la chefferie de l’automne 2021 pendant lesquelles Heather Stefanson s’était imposée de peu face à Shelly Glover. Cette dernière avait d’ailleurs contesté le résultat devant la Cour du Banc du Roi arguant que le résultat avait été faussé. Plusieurs membres s’étaient plaints de n’avoir pas reçu leurs bulletins de vote à temps.
Éviter les problèmes passés
Parmi les recommandations et les potentielles nouvelles règles qui seront adoptées : une période minimale de campagne comprise en 90 jours et 150 maximum, mais aussi, un nouveau système de vote. lire la suite...
En une de son premier numéro de 2024, la revue américaine “Foreign Policy” donne le ton de l’année électorale à venir. Des scrutins d’importance se tiennent partout dans le monde, à commencer par les États-Unis. Et “dans de nombreux pays, la démocratie atteint un point critique”.
Une urne massive, frappée du numéro “2024”, atterrit lourdement sur la surface de la Terre, creusant un imposant cratère. En couverture de son édition de l’hiver, Foreign Policy annonce “l’année de toutes les élections” et se demande : “À quoi faut-il s’attendre quand près de la moitié de la population mondiale se rend aux urnes ?”
L’Inde, les États-Unis, l’Indonésie, le Bangladesh, le Pakistan, le Mexique ou encore la Russie. “Il y aura cette année des élections nationales dans sept des dix pays les plus peuplés”, remarque la revue américaine. À ceux-là s’ajoutent des scrutins d’importance sur chaque continent : Autriche, Afrique du Sud, Taïwan, Tunisie, Royaume-Uni et Venezuela. Sans oublier les élections européennes en juin.
“Au total, plus de 40 % de la population mondiale est attendue aux urnes lors de plus de 50 scrutins nationaux […]. Un nombre sans précédent de personnes votera cette année. Mais comme le sait Joe Biden, pour en avoir fait lui-même l’expérience, il n’est pas garanti que les résultats soient toujours libres et incontestés.” Et, comme pour donner Lire la suite ...
L’élection présidentielle de février 2024 s’annonce comme l’une des plus intéressantes et les plus importantes dans le domaine du numérique au Sénégal.
Un petit retour en arrière. Depuis l’expérience extrêmement enrichissante acquise au sein de Desirdavenir de la socialiste Ségolène Royal en 2006, une participation à un bootcamp d’Obama en 2007, de Me Abdoulaye Wade également en 2007 avec Macky Sall comme directeur de campagne. Élection qui a vu la proclamation de la victoire de Me Abdoulaye Wade dès le premier tour avec 1.914.400 voix, je peux en toute modestie avoir un œil d’expert sur ces élections à l’ère du « numérique. » dix-sept années plus tard.
Beaucoup de sénégalais étaient persuadés que les djinns avaient voté pour Abdoulaye Wade mais que cela ne reflétait pas les intentions de vote de la population à l’époque. Certains journalistes s’empressaient même d’écrire que Karim Wade avait fait venir un crack en informatique depuis Paris et c’est lui qui a trafiqué les résultats, car c’était impossible qu’Abdoulaye Wade sorte vainqueur de cette élection, et surtout au premier tour, car il était honni par Lire la suite...
Le Bhoutan vote alors que les difficultés économiques affectent le "bonheur national"
Le royaume himalayen du Bhoutan a commencé à voter mardi pour ses quatrièmes élections législatives alors que les problèmes économiques remettent en question sa philosophie donnant la priorité au "bonheur national brut" plutôt qu'à la croissance.
Dans l'air glacial des montagnes au petit matin, seuls quelques électeurs ont fait la queue à l'ouverture des bureaux de vote dans la capitale Thimphou, a constaté un journaliste de l'AFP.
Dans ce pays de 800.000 habitants, enclavé et dont la taille est comparable à celle de la Suisse, certains électeurs doivent marcher pendant des jours pour mettre leur bulletin dans l'urne.
Revue de presse de lundi 8 janvier 2024
L’invalidation, vendredi 5 janvier, de 82 candidats aux législatives nationales et provinciales ainsi qu’aux locales par la CENI fait la Une des journaux parus ce lundi 8 janvier 2024.
L’Avenir note que pendant que l'on attendait la publication des résultats des législatives ce mercredi 03 janvier 2024, la CENI avait décidé de son report. Ce qui a donné libre court à des spéculations et pertes en conjectures. Deux jours après ce report de publication, conformément à la décision n° 001/CENI/AP/2024, la Commission électorale nationale indépendante a invalidé ce 5 janvier 2024, 82 candidatures, dont celle du gouverneur de la ville de Kinshasa Gentiny Ngobila Mbaka et 12 membres du parti présidentiel, UDPS, pour fraudes électorales et autres actes illicites.
« Un véritable atterrissage catastrophique pour ces présumés maffieux, un 'crash électoral ' inédit », commente ce quotidien.
En effet, c'est une décision sans précédent dans les annales politiques de la République démocratique du Congo, fait savoir ce journal qui relève que parmi les invalidés, il y a 3 ministres en fonction, 2 administrateurs, 6 sénateurs, un ministre provincial de Kinshasa, 4 gouverneurs, un vice-gouverneur et deux députés nationaux.
Pour Infos 27(ex Le Potentiel), les élections étant au cœur de la démocratie, leur intégrité demeure cruciale pour garantir un processus juste et transparent. Ainsi, face à la fraude électorale et des dérapages observés dans certaines circonscriptions lors des scrutins de décembre 2023, la Commission électorale nationale indépendante (CENI) a historiquement fait preuve de...
Ensemble pour la République, formation politique chère à Moïse Katumbi Chapwe s'est exprimé sur le décision de la Commission Électorale Nationale Indépendante portant annulation pour fraude et corruption, intimidations et vandalisme de matériel électoral la totalité des suffrages obtenus par certains candidats aux législatives nationales et provinciales et l'annulation des législatives nationales et provinciales dans les circonscriptions électorales de Masimanimba ( Kwilu) et Yakoma dans le Nord Ubangi.
Se référant à une des recommandations de la mission d'observation électorale CENCO-ECC sur la mise en place d'une commission indépendante et mixte pour faire la lumière sur les différents cas d'irrégularités documentées par les parties prenantes au processus électoral, Moïse Katumbi note que la décision de la centrale électorale va à l'encontre de cette recommandation selon lui de la plus grande mission d'observation électorale en RDC.
“Comment dès lors un coupable peut-être retenu comme juge ? Quelle objectivité peut-on attendre du...
Malgré les demandes à répétition de Volodymyr Zelensky pour de nouvelles aides financières et militaires, le soutien international à Kiev est au plus bas depuis le début de la guerre. Pourtant, en Ukraine, le consensus autour du président reste grand.
«Nous devons reconnaître que l’heure est à la défense, à la bataille, dont dépend le sort de l’Etat et de son peuple.» Le 6 novembre dernier, lors d’une allocution vidéo, Volodymyr Zelensky répondait aux interrogations: organiser des élections présidentielles en pleine guerre serait «irresponsable», selon le président ukrainien qui disait jusqu’alors étudier la tenue du scrutin un mois après avoir reporté les élections de la Verkhovna Rada, le parlement ukrainien.
En 2024, l’Ukraine assistera donc impuissante à des scrutins d’une importance capitale pour son futur – notamment aux Etats-Unis et dans l’Union européenne – sans régler la question de son propre avenir politique. Et avant que leurs résultats tombent, la stratégie reste la même: Kiev renouvelle sans cesse les demandes...
Opinions par Jean-Claude Mputu,
citoyen congolais et Anti-corruption champions Award 2023.
Ceci est le plaidoyer d’un citoyen qui voit son pays s’enfoncer dans le déni, le mensonge, la corruption et les antivaleurs mais qui malgré tout continue à vouloir croire qu’un autre avenir est possible. Car il est convaincu que le Congo en vaut la peine et que les Congolais ont trop souffert. La manière dont les élections générales de décembre 2023 ont été planifiées et mises en œuvre en RDC constituent un véritable projet pour tuer la démocratie.
C’est pourquoi, je voudrais m’interroger avec vous. Quels sont les critères d’une bonne élection et pourquoi les organise-t-on ? Si les élections doivent permettre à un peuple de choisir librement et légalement ses dirigeants en toute indépendance, transparence, alors qui peut me dire qu’en décembre 2023, la RDC a connu des élections ?
Une session de formation au profit d’acteurs de la société civile a été organisée, récemment à l’espace de participation citoyenne au sein de la commune de Tétouan, et ce dans le cadre de la promotion de la culture de l’égalité de genre.
Ces ateliers de formation et de sensibilisation s’inscrivent dans le cadre du projet de « promotion de la culture de l’égalité de genre », mis en oeuvre par l’association Sayida Al Hora pour la citoyenneté et l’égalité des chances à Tanger-Tétouan-Al Hoceima, en partenariat avec l’ONG « Manos Unidas » et la commune de Tétouan.
Abrités par les bibliothèques de proximité de Tétouan au profit des usagers, notamment les élèves et les étudiants, ces ateliers ont abordé les sujets liés à la démocratie participative, les droits de l’Homme, la participation citoyenne, l’égalité de genre et au droit d’accès à l’information. Lire la suite ...
C’est une fausse bonne idée que ce nouveau financement de la santé décidé le 22 décembre sous la coupole fédérale. C’est le SSP, le Syndicat des services publics qui le dit et qui va s’y opposer en lançant mardi prochain un référendum.
Pas question de renforcer encore le pouvoir des assureurs sur notre système de santé.
Le Syndicat des services publics (SSP) lance mardi 9 janvier, le référendum contre le nouveau financement de la santé, décidé le 22 décembre sous la coupole.
Aujourd’hui, les traitements en milieu hospitalier par exemple sont couverts à 45% par les assureurs, 55% par les cantons, donc par l’impôt. Avec EFAS, le nom de cette réforme, la part des cantons passera à 26,9%, celle des assureurs à 73,1% et cette répartition sera appliquée pour Lire la suite ...
Le président de la transition, dans son adresse à la nation, a fait deux grosses annonces. Il s’agit de la soumission à référendum d’une nouvelle constitution et la mise en place des délégations spéciales.
Réagissant à cette sortie du dirigeant guinéen, ce mercredi 3 décembre, le numéro 1 du parti BL Dr Faya Millimono, a estimé que le référendum seul ne suffit pas pour le retour à l’ordre constitutionnel en 2024.
«En promettant l’organisation d’un référendum au courant de l’année 2022, ça suppose qu’on aura le fichier électoral à la fin du RAVEC parce qu’on est convenu de l’extraire du fichier électoral. Si nous avons cela, la question qu’on se pose, qu’en est-il des autres élections parce que le référendum seul ne suffit pas. C’est une condition importante pour le retour à l’ordre constitutionnel », a-t-il lancé. Lire la suite ...
Le Conseil fédéral veut introduire un document d’identité numérique gratuit et facultatif. Un outil qui facilitera l’exercice des droits politiques de la Cinquième Suisse, tout en présentant des avancées en matière de sécurité, ont estimé les deux invitées de notre débat filmé Let’s Talk.
«La Confédération a fait des efforts notables pour présenter un projet d’identité électronique (e-ID) qui protège mieux les données», affirme Lennig Pedron, la directrice de la Trust Valley, un pôle de compétence en matière de confiance numérique et de cybersécurité.
En mars 2021, le peuple avait refusé une première loi sur l’identité électronique, principalement en raison de la centralisation des données et la gestion du système par des privés. Le gouvernement a approuvé en novembre dernier les contours d’un nouveau projet, qui sera cette fois entièrement en mains étatiques.
Lennig Pedron salue les efforts fournis par le Conseil fédéral pour...
Le nouveau Parlement suisse compte un membre qui n’a plus eu à se soumettre à une élection depuis 2015. Cette année encore, le conseiller aux Etats obwaldien Erich Ettlin a retrouvé son siège à la Chambre haute sans que personne ne se présente pour le lui disputer. Est-ce un problème?
Lors des élections fédérales du 22 octobre, le conseiller aux Etats Erich Ettlin a passé un dimanche électoral des plus tranquilles. En effet, sa réélection était claire sans qu’il n’y ait même besoin de compter les voix, étant donné qu’il était le seul candidat en lice.
En Suisse, beaucoup de membres des autorités communales obtiennent un poste de cette manière. Mais lorsqu’il s’agit de sièges au Parlement fédéral, de telles «élections tacites» suscitent des froncements de sourcils. La question se pose en effet de savoir dans quelle mesure les personnes élues bénéficient réellement d’un soutien démocratique.
Pas comme en URSS
Invités à se prononcer par référendum, les Chiliens ont rejeté dimanche la nouvelle Constitution proposée par le Conseil constitutionnel. La loi fondamentale établie en 1980 lors de la dictature d'Augusto Pinochet reste en vigueur.
Pour la deuxième fois consécutive, les Chiliens ont rejeté un projet de nouvelle Constitution. À l'occasion d'un référendum, ils se sont prononcés "contre" le texte élaboré par un Conseil constitutionnel dominé par l'extrême droite à 55,75 % des voix, tandis que le "pour" a obtenu 44,25 % des suffrages, selon les résultats officiels publiés par le Service électoral après que 99 % des bulletins aient été dépouillés, dimanche 17 décembre.
Le référendum islandais de 1918 se tient le 19 octobre et concerne l'Acte d'Union dano-islandais permettant à l'Islande de devenir un royaume indépendant du Royaume de Danemark, tout en ayant le même monarque.
La campagne électorale des élections générales en République démocratique du Congo entre dans sa dernière ligne droite. Les Congolais sont appelés aux urnes le 20 décembre prochain et d'ici là, RFI donne la parole aux différents candidats au scrutin présidentiel. Pour ouvrir cette séquence politique, nous écoutons ce lundi 11 décembre 2023 Martin Fayulu, qui était arrivé deuxième selon les chiffres officiels de l'élection présidentielle de 2018. Il avait à l'époque revendiqué la victoire à ce scrutin. Quels sont les thèmes sur lesquels il bat campagne, comment voit-il le scrutin à venir ?
La vice-présidente du Conseil d’État défend le programme du gouvernement et notamment les bons résultats des finances, qui devraient permettre d’envisager une baisse de l’import sur les revenus pour les personnes physiques.
.../... sorte de guichet unique pour remettre ses documents à l’administration. Aussi le vote électronique devrait être relancé en 2026.
La Poste stocke-t-elle les signatures numériques de ses clients sans les avertir? C’est la question que s’est posée récemment un ancien haut responsable chez Google à Zurich. L’ingénieur a subi une étrange mésaventure il y a quelques semaines. Après avoir échangé à plusieurs reprises avec La Poste à ce sujet, il a décidé d’en parler...
D'après les résultats préliminaires, le taux de participation aux municipales a été de 46%. Le parti GERB sort gagnant et conforte même ses positions, avec les écrasantes victoires de ses candidats à Sofia,Varna, Bourgas, Stara Zagora et d'autres villes du pays. Le PS conserve sa deuxième place avec 17,2% des voix, suivi du MDL /14,6%/ et du Bloc réformateur /9%/. Un deuxième tour des municipales est prévu dimanche prochain dans certaines villes dont Plovdiv où le maire sortant GERB affrontera le candidat de la coalition du Front patriotique. Concernant le référendum, 70% des Bulgares ont plébiscité le vote électronique pour une participation de 35%, qui est insuffisante pour...
Le front du « non » au referendum constitutionnel avance la mauvaise gouvernance et le détournement des biens publics vécus sous les différents régimes pour inciter les populations à voter « non » au referendum constitutionnel. C’est lors d’une communication faite le 25 novembre par le coordonnateur dudit front, Brice Mbaimon Guedmbaye.
Depuis son indépendance, le Tchad peine à s’intégrer en tant qu’Etat fiable ou ses filles et fils peuvent vivre dans la paix, la justice et le progrès social, observe Brice Mbaimon Guedmbaye.
Pour lui, le centralisme à « outrance » du pouvoir a eu comme corollaires le sous-développement, la mal gouvernance et la dictature.
« Les Tchadiens sont réduits à l’esclavage. Les tenants du pouvoir et...
Au Tchad, la campagne référendaire a démarré, samedi 25 novembre. Les Tchadiens sont appelés aux urnes, le 17 décembre prochain pour permettre un retour à l’ordre constitutionnel en se prononçant « pour » ou « contre » la nouvelle loi fondamentale qui maintient la forme unitaire de l’Etat. Des coalitions de partis politiques pour les camps du « oui » et du « non » ont lancé officiellement leurs activités de campagne, samedi, à Ndjamena.
Cette campagne de vingt jours permettra aux différentes tendances politiques d’échanger avec les populations sur le choix de la forme de l’État.
Les résidents d’Elmore continueront de gérer les affaires de leur ville en personne plutôt que par vote.
Les électeurs ont récemment rejeté trois mesures distinctes visant à déplacer le budget de la ville, les élections et tout autre futur mélange municipal au scrutin australien. Le comité de sélection avait accepté d’organiser l’assemblée municipale spéciale du 16 novembre après que certains habitants ont suggéré que le changement temporaire du vote par bulletin en période de pandémie avait conduit à une participation électorale plus élevée.
Soixante-huit personnes ont participé à la réunion de jeudi soir, et le vote en faveur du refus de mener les affaires municipales au scrutin australien s’est déroulé avec une marge d’environ deux contre un.
Le modérateur de longue date, Jon Gailmor, s’est dit encouragé par la courtoisie exprimée par les personnes favorables au maintien de la tradition des réunions municipales et par celles qui plaident pour un meilleur accès via le vote par urne toute la journée.
« Les gens adorent vraiment cet endroit. Je veux dire, tout le monde ici aime et chérit Elmore, tout comme moi. C’était une affirmation », a déclaré Gailmor.
Vicki Solms, résidente d’Elmore, était cependant frustrée du résultat. Solms a plaidé pour un vote par bulletin de vote et a poussé le comité municipal à convoquer la réunion de jeudi, mais lorsque la nuit est finalement arrivée, elle est tombée malade et n’a pas pu se présenter pour défendre sa cause.
Cela, dit-elle, souligne le problème de quelqu’un qui n’a son mot à dire dans la gouvernance de la ville que s’il se présente à une réunion.
“Un si petit pourcentage de personnes ne devrait pas tout décider”, a déclaré Solms. “Ce n’est pas la vraie démocratie.”
Dans un mois, le 24 décembre précisément la Tunisie s’apprête, à nouveau, à voter pour les élections locales et régionales. La date a été fixée par un décret présidentiel. Ce scrutin se déroule en deux tours, le second devant se tenir après l'annonce des résultats définitifs du 1er tour. Selon le président de l'Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie), Farouk Bouasker, elles coûteront 40 millions de dinars tunisiens. Après 60 ans de disette, nous subissons une indigestion d’élections.
Mon père et tous ceux de sa génération n’ont jamais pu voter librement, ni avant ni après l’indépendance. J’ai eu l’outrecuidance de penser avoir brisé, à 55 ans, la fatalité. Je l’ai enfin eu cette revanche sur le destin un certain dimanche, le 23 octobre 2011 exactement. Je suis revenu en Tunisie à la quatrième vitesse de l'autre bout du monde pour pouvoir, avec une fierté non dissimulée, voter. J’ai longtemps gardé avec une réelle émotion le bleu de l’encre sur mon index gauche… Tous les espoirs étaient permis. La suite me prouvera à quel point...
Le référendum sur l'indépendance du Territoire français des Afars et des Issas a lieu sur ce territoire le 8 mai 1977. À la suite de la victoire écrasante du oui, le territoire devient indépendant le 27 juin de la même année sous le nom de République de Djibouti1.
Il fait suite au référendum d'autodétermination tenu le 19 mars 1967, où 60 % des votants s'étaient prononcés en faveur de leur maintien dans la République française, avec un statut renouvelé.
La campagne officielle pour le référendum constitutionnel du 17 décembre 2023 débute ce 25 novembre au Tchad. Le texte, adopté en juin par le parlement de transition, reprend l’architecture consensuelle de la loi fondamentale de 1996, et sur la question centrale de la forme de l’État, promet une décentralisation avancée plutôt qu’un fédéralisme. Le gouvernement promet que chacun sera libre de faire campagne. Le camp du « non » accuse la coalition pour le « oui », dirigée par le Premier ministre Saleh Kebzabo, d'avoir engagé les moyens de l'État pour sa campagne. Ce que conteste le gouvernement. Les opposants au texte, pour leur part, prôneront l’abstention, tandis qu’un acteur clé tarde à faire connaître sa position.
Oubliée, la proposition du dialogue national de mettre au vote une question sur la forme de l’État, unitaire ou fédérale : le gouvernement a tranché et c’est donc sur la formule unitaire que se prononceront les électeurs tchadiens le 17 décembre. Un choix dénoncé par l’opposition comme une « violation flagrante de la lettre et de l’esprit » du dialogue national inclusif...
Berne, 22.11.2023 - À sa séance du 22 novembre 2023, le Conseil fédéral a accordé au canton des Grisons une autorisation générale pour mener des essais de vote électronique dans le cadre des votations fédérales. L’autorisation générale est valable pour une partie limitée de l’électorat jusqu’à la votation du 8 mars 2026 comprise. Par ailleurs, la Chancellerie fédérale a délivré pour sa part l’agrément pour la votation du 3 mars 2024.
Par sa décision d’aujourd’hui, le Conseil fédéral permet au canton des Grisons de reprendre les essais de vote électronique. Pour ce faire, ce dernier va utiliser le système de vote électronique de La Poste Suisse, auquel recourent déjà les cantons de Bâle-Ville, de Saint-Gall et de Thurgovie. Les cantons et la Chancellerie fédérale tirent un bilan positif de l’utilisation qui a été faite de ce système lors de la votation du 18 juin 2023 et de l’élection du Conseil national du 22 octobre 2023.
Dans le canton des Grisons, le vote électronique sera à la disposition des électeurs suisses, qu’ils résident dans notre pays ou
Ils sont 268.147 en Belgique et vont voter alors qu’ils ne sont pas encore majeurs. Les jeunes de 16 et 17 ans pourront entrer leur bulletin dans l’urne pour un seul scrutin : les élections européennes. Et pas besoin de s’inscrire au préalable, ils pourront voter comme les électeurs plus âgés. Seule différence : le vote n’est pas obligatoire. Peuvent-ils vraiment changer le résultat ? Dans quelle mesure votent-ils différemment de leurs parents ? Analyse.
Ils représentent 2,9% du corps électoral de notre pays pour le scrutin européen, ont calculé les chercheurs du CEVIPOL, le Centre d’étude de la vie politique de l’Université libre de Bruxelles (ULB). À ce chiffre, il faut ajouter les résidents...
La Ville de Montréal veut participer à un projet-pilote qui permettrait à certains électeurs de voter par internet au prochain scrutin municipal, en 2025.
Le conseil municipal a voté mardi pour signifier son intérêt au Directeur général des élections du Québec.
« On souhaite que ce soit assurément une expérience positive, qui nous fait essayer des choses », a affirmé l’élu de l’administration Plante responsable du dossier, Robert Beaudry. Il a souligné que la Ville de Montréal voulait que ses enjeux uniques soient abordés dans le cadre de ce projet-pilote. « On lève la main, mais on reste prudent là-dedans », a ajouté M. Beaudry, soulignant que l’intégrité du vote était une priorité non négociable.
Selon la documentation rédigée par les fonctionnaires municipaux, le projet-pilote serait restreint à une zone limitée de la ville de Montréal en 2025.
« La cible visée quant à la proportion de personnes admissibles au vote par internet est d’environ 10 % de l’électorat total la Ville », indique la documentation du conseil municipal. « L’ensemble des personnes inscrites sur la liste électorale
En juin dernier, la Cour suprême des États-Unis a créé la surprise en invalidant une carte des circonscriptions électorales adoptée par les élus républicains en Alabama. La cause découlait d’une action en justice lancée par des groupes de défense des droits civiques en vertu de l’article 2 de la loi sur le droit de vote de 1965, qui interdit les pratiques électorales ou de vote discriminatoires à l’égard des Américains sur la base de la race.
Or, la Cour d’appel des États-Unis pour le 8e circuit a porté un dur coup à la loi emblématique du mouvement des droits civiques lundi en statuant que seul le gouvernement fédéral peut s’appuyer sur l’article 2 dans le cadre d’une poursuite. Dans une décision rendue à deux voix contre une et rédigée par un juge nommé par Donald Trump, la Cour a conclu que le texte de la loi sur le droit de vote ne contenait pas explicitement de dispositions relatives à un « droit d’action privé ». Les particuliers et les groupes civiques ne pourraient donc pas s’en servir pour contester des mesures électorales.« Si [cette décision] reste en vigueur, il s’agira d’un coup fatal pour cette loi », a déclaré Wendy Weiser, directrice du programme sur la démocratie au Brennan Center for Justice. « Des théories radicales qui auraient été auparavant rejetées par les tribunaux ont été prises de plus en plus au sérieux par un système
Des citoyens s’opposent au changement de vitesse dans plusieurs secteurs de la ville. Mais le Conseil municipal indique que ses décisions ne peuvent être attaquées par voie de référendum.
Le passage prévu de plusieurs rues en 30km/h à Moutier ne plaît pas à tout le monde. Des citoyens ont fait parvenir au début du mois un référendum pour s’élever contre cette décision. Pour rappel, les autorités ont présenté en octobre dernier leur plan pour acter ce changement au printemps prochain. Quatre secteurs sont concernés : « sud rue Centrale », « nord rue de Soleure », « ouest Petit-Val » et de la rue de l’Hôtel-de-ville.
Si le référendum a obtenu suffisamment de signatures, il a toutefois été jugé « irrecevable » par l’exécutif communal. Clément Piquerez, conseiller municipal en charge de la sécurité publique et des travaux explique pourquoi : « Selon l’article 29 du Règlement d’organisation de la commune municipale, les référendums s’appliquent sur certaines décisions du Conseil de ville ». Et pas contre celles des autorités, donc.
Les initiatives se multiplient pour mobiliser les jeunes électeurs en vue du 9 juin 2024. Elles nécessitent d’abord un peu d’information autour de l’Union européenne. Et débouchent ensuite sur un foisonnement de propositions. Les jeunes ont des droits et des idées !
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L’OMS va-t-elle prendre le contrôle de la ‘gouvernance mondiale’ en mai 2024
Chers lecteurs,
J’ai le plaisir de vous inviter à la conférence The WHO coup ! Le Traité Pandémie, une menace pour la démocratie ?
Il est temps de lancer une action grand public autour du coup d’état mondial qui se discute à huis clos. L’OMS tente de s’ériger en organe de gouvernance mondiale au nom de la santé. En mai 2024, la 77ème Assemblée mondiale de la santé devra voter les modifications du Règlement sanitaire international et le ‘Traité pandémie’.
Ces deux instruments auront pour effet de changer fondamentalement le rôle de l’organisation. Au lieu d’être un organe de facilitation et de service aux états, l’OMS sera un pouvoir directeur qui imposera ses décisions aux membres. Son directeur Tedros Adhanom Ghebreysus pourrait par exemple déclarer une ‘pandémie potentielle’ n’importe où dans le monde et imposer toutes les mesures qu’il estime nécessaire, sous peine de sanctions pour le pays concerné.
Il s’agit d’une grave menace sur la démocratie.
Jemna. L’oasis de la révolution Sciences Po Lille Lille, 21 novembre 2023, Lille.
Jemna. L’oasis de la révolution Mardi 21 novembre, 18h30 Sciences Po Lille Entrée libre
Dans ce livre issu d’une solide enquête sur l’action collective de récupération des terres
d’un domaine de l’oasis dattière de Jemna, au sud-ouest de la Tunisie, au cours de « la
révolution de la dignité » de janvier 2011, Mohamed Kerrou poursuit sa réflexion sur le
bilan de cette révolution. Il pose que « Jemna a réussi, là où la “révolution de la dignité”
a échoué, grâce à une mobilisation des citoyens attachés à la “terre des ancêtres” et à
une démocratie participative qui permet de débattre librement des “affaires de la cité” »,
redéfinissant localement les rapports entre l’État et la société.
Sciences Po Lille 9 Rue Auguste Angellier Lille 59000 Lille-Centre Nord Hauts-de-France.
En 2018, le vote par correspondance était introduit au Luxembourg. Une étape vers un scrutin davantage moderne avait ainsi été franchie. À la veille de choisir un nouveau gouvernement, le Grand-Duché est-il prêt à aller encore plus loin en passant au vote électronique? Éléments de réponse avec le professeur à l’Université du Luxembourg Peter Ryan.
Malgré ces années d’expérience en fiabilité des modes de scrutin, le professeur Peter Ryan a du mal à donner une définition générale du vote électronique (ou e-voting). «C’est un terme ambigu», avoue-t-il. «J’ai tendance à l’utiliser pour parler de...
Le processus de vote est en cours dans les régions reculées d’Australie pour le référendum sur la Voix au Parlement. Cette consultation historique vise à donner aux peuples autochtones une voix au sein du Parlement, leur permettant ainsi de participer activement à la prise de décision politique du pays. Alors que le vote se déroule dans les villes et villages éloignés, les communautés autochtones attendent avec impatience cette opportunité de faire entendre leur voix et de revendiquer leur place légitime dans la gouvernance nationale. Cet article examinera en détail l’importance de ce référendum pour les peuples autochtones australiens et les difficultés auxquelles ils sont confrontés dans l’exercice de leur droit de vote.
Avec des élections européennes, fédérales, régionales et communales, 2024 sera une année importante pour la démocratie dont chacun sait qu’elle est menacée. Dans notre pays, depuis 1830 État de droit et de liberté, un récent sondage révèle que 69 % des habitants aspirent à une gouvernance « qui mettrait de l’ordre ». Ce rêve d’un régime autoritaire réveille le souvenir de la crise morale des années 1930 qui a favorisé la montée des dictatures et la deuxième guerre mondiale. Alors que la suivante se prépare peut-être, le malaise démocratique se lit dans la progression de l’absentéisme électoral : en 2019, il atteignait 12 %. Où sera-t-il l’année prochaine ? Cette démobilisation invite à s’interroger sur le droit de vote, si chèrement acquis depuis le 19e siècle par ceux et celles qui en étaient privés.
La dernière monarchie absolue d'Afrique, Eswatini, organise vendredi des élections législatives avec une particularité: les partis politiques ne sont pas autorisés à participer au scrutin, chaque candidat faisant valoir son "mérite individuel", selon la Constitution.
Les bureaux de vote seront ouverts de 05H00 GMT à 16H00 GMT, et les résultats devraient être annoncés dimanche.
. Démocratie "pas très pratiquée"
Quelque 585.000 inscrits sont appelés à se rendre aux urnes vendredi pour élire 59 députés d'un Parlement qui n'a qu'un rôle consultatif. Le roi Mswati III valide tous les projets de loi et jouit d'un droit de veto. Dix députés supplémentaires sont directement nommés par le monarque absolu.
Le scrutin ne devrait pas changer la donne politique dans le pays: les candidats interdits de représenter un parti ont été désignés lors de primaires le mois dernier et la plupart sont fidèles au roi.
Les élections européennes auront lieu du 6 au 9 juin prochain. Parmi les nouveautés cette année : la possibilité pour les jeunes de voter dès 16 ans. Alors pour les aider à y voir plus clair, un nouveau site internet vient de voir le jour : sur Ressources Elections, les jeunes trouveront un guide complet pour les informer sur la démocratie et les élections.
Ce site a été mis en place pour répondre à une demande spécifique de la part des jeunes, Louise Lebichot, secrétaire générale du Forum des Jeunes : " Il y a un contexte particulier puisque nous allons avoir plus ou moins un million de jeunes qui vont voter pour la première fois. Nous avons été dans les écoles, on a fait des animations, on a été à leur rencontre pour voir un petit peu comment eux se situaient par rapport à ça."
Réponse à votre question
L'affirmation selon laquelle le droit constitutionnel belge n'autorise pas l'adoption de lois par la voie du référendum trouve son fondement dans l'article 33 de la Constitution belge.
Cet article stipule que :
"Tous les pouvoirs émanent de la Nation. Ils sont exercés de la manière établie par la Constitution."
Cela signifie que le pouvoir législatif est exercé par les représentants élus du peuple, et non directement par le peuple lui-même. En d'autres termes, la Belgique est une démocratie représentative, et non une démocratie directe. Par conséquent, l'adoption de lois par la voie du référendum n'est pas autorisée.
Pour plus d'informations sur la Constitution belge, vous pouvez consulter le texte intégral de la Constitution.
Voici un extrait de l'article 33 de la Constitution belge :
Article 33 : Tous les pouvoirs émanent de la Nation. Ils sont exercés de la manière établie par la Constitution.
J'espère que cela répond à votre question.
Si vous avez d'autres questions, n'hésitez pas à les poser.
Une ancienne page « à propos » sur la désinformation subsiste, mais l’outil a été supprimé du X d’Elon Musk.
X, la plate-forme anciennement connue sous le nom de Twitter, offrait aux utilisateurs la possibilité de signaler du contenu pour « informations trompeuses ».
Sous Elon Musk, ce n’est plus le cas.
Le National a enterré mardi un projet visant à interdire la récolte de paraphes dans la rue. Aucune alternative ne se profile pour cette pratique parfois controversée.
Payer une personne pour récolter des signatures dans la rue ne sera ni interdit ni réglementé. Ainsi en a décidé le Conseil national mardi. À 120 voix contre 70, la Chambre basse a décidé d'enterrer une initiative parlementaire de Léonore Porchet (Verts/VD) qui réclamait l'interdiction de cette pratique parfois sujette à des dérives.
Comment les Allemands de l’Est peuvent-ils se détourner de la démocratie après avoir lutté pour la conquérir ? Le sentiment d’être méprisés, exclus de la vie politique et économique, explique leur défiance et la montée de l’extrême droite.
L’Institut Else-Frenkel-Brunswik (EFBI) de l’Université de Leipzig est une structure de recherche qui étudie et documente les attitudes antidémocratiques au sein de la population allemande. Les chercheuses
Le vote électronique nul
- Session : 2010-2011
- Année : 2010
- N° : 62 (2010-2011) 1
2 élément(s) trouvé(s).
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Question écrite du 23/12/2010
- de KILIC Serdar
- à DEMOTTE Rudy, Ministre-Président du Gouvernement wallon
En Belgique, le vote est obligatoire. Qu'il s'agisse des élections législatives, régionales. européennes ou communales, chaque citoyen doit l'acquitter de ses obligations. Depuis quelques années, le vote électronique s'est installé chez nous, partiellement en Flandre, mais intégralement à Bruxelles. Pour ce qui est de la Wallonie, il est moins répandu mais, à terme, j'imagine que nous devrions recoller au peloton. Pourtant, il subsiste un problème d'ordre éthique, voire philosophique: la suppression du
.../ "Les réalisations accomplies dans le cadre du parachèvement de l'édifice institutionnel qui a abouti à la création du Conseil supérieur de la Jeunesse (CSJ), l'une des réalisations les plus importantes au profit de la jeunesse dans l'Algérie nouvelle, en sus de la mise en place d'un Observatoire national de la société civile (ONSC) pour soutenir la démocratie participative".
Le Guatemala a reçu une attention inhabituelle des médias internationaux ces derniers mois, grâce à ses élections historiques ainsi qu’aux efforts effrontés de l’élite pour les renverser.
Le 25 juin, au grand choc de la plupart des Guatémaltèques et des observateurs internationaux, le parti d’opposition Mouvement Semilla (« Mouvement des semences ») a terminé deuxième au premier tour des élections, forçant un second tour contre l’establishment. Unité nationale de l’espérance parti, connu sous le nom d’UNE, dirigé par Sandra Torres, une militante politique de longue date qui a été arrêtée en 2015 en lien avec des allégations de financement illégal de campagne. C’est la première fois dans l’histoire récente qu’un parti d’opposition lance un défi sérieux à l’élite militaire et économique profondément enracinée du Guatemala.
En réponse aux résultats surprises du premier tour, le « Pacte des Corrompus » – une alliance de juges, de procureurs et de politiciens corrompus, ainsi que d’élites économiques et militaires qui dirigent le pays – a mené des attaques semblables à celles du 6 janvier contre le pays. Sémilla parti et le processus électoral lui-même...
Dans la soirée du jeudi 14 septembre 2023 au Chant d’oiseau à Cotonou, les invités de l’Institut des artisans de justice et de paix du Chant d’Oiseau (Iajp_CO), en cercles de réflexion et en plénière se sont penchés sur le thème : « Promotion d’une démocratie au service du développement humain : une question des droits de l’homme ». En attendant le symposium de fin d’année, cette troisième activité vient mettre un terme aux rendez-vous scientifiques trimestriels et thématiques initiés par l’Institut, pour le compte de cette année, autour du thème annuel intitulé ‘’Promouvoir une démocratie au service du développement dans le respect des droits humains et la consolidation de la paix’’.
Après la phase de la Conférence, au premier trimestre autour du thème ‘’La question de la prévention des crises post électorales’’ ; la phase du Débat au deuxième trimestre sur ‘’La démocratie : valeur humaine et consolidation de la paix’’, l’Iajp a tenu le pari du troisième trimestre de l’année à travers des Cercles de réflexion qui se sont appesantis sur ‘’La promotion d’une démocratie au service du développement humain’’. Pour ce dernier acte de cette expérience ou
Mi-août, la Fondation Open Society créée par le milliardaire américain George Soros a annoncé qu’elle réduisait son activité sur le continent européen. Elle versait jusqu’alors près de 200 millions d’euros chaque année à des structures de la société civile.
Aucune autre fondation ne finançait à ce point la société civile européenne. La décision de quitter le continent ne sera pas sans conséquences. À la mi-août, la Fondation Open Society (OSF), créée par le milliardaire américain George Soros, a annoncé « un nouveau modèle opérationnel » qui implique le retrait de la majeure partie des activités au sein de l’Union européenne. Ce choix a été fait par le fils du milliardaire, Alexandre Soros, qui a pris la succession de son père il y a trois ans.
Près de 200 millions d’euros par an
Pour exemple, en 2021, la fondation a financé des structures européennes à hauteur de plus de 200 millions d’euros. Créée en 1979 par le milliardaire américain George Soros, elle se fonde sur le concept de société ouverte développé par le philosophe autrichien Karl Popper.
L’Assemblée générale annuelle des Nations unies qui s’ouvre aujourd’hui à New York est marquée par l’absence des présidents chinois, russe, français ainsi que du Premier ministre britannique Rishi Sunak — soit quatre dirigeants des cinq pays membres du Conseil de sécurité1. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky est quant à lui présent en physique cette année, et doit prononcer son premier discours au siège des Nations unies depuis l’invasion russe de février 2022.
1973-2023 : cinquante ans après le coup d’Etat à Santiago et la mort de Salvador Allende, un numéro spécial de Libération sur la mémoire d’un événement qui continue de fracturer le Chili, et qui a bouleversé la gauche en France et à l’étranger. Nos articles sur cet anniversaire sont à lire ici.
Une année après le rejet par référendum de la proposition constitutionnelle élaborée par la Constituante au Chili, quelles leçons à tirer pour la gauche de ce qui apparaît être un espoir (encore) déçu ? Pour Pierre Dardot, spécialiste de philosophie politique et auteur de la Mémoire du futur. Chili 2019-2022 (Lux, 2023), un essai sur le processus né du mouvement social de 2019, si le soulèvement...
Analyse
Dernier rempart contre la dictature pour les uns, institution à abattre pour les autres : la Cour suprême est au cœur d’une bataille dans laquelle elle devrait jouer, sauf compromis de dernière minute, à partir du 12 septembre, une partie de son destin et celui du régime démocratique israélien.
Québec, le 11 septembre 2023 – Les parlementaires voteront de façon électronique en Chambre dès la rentrée prévue le 12 septembre prochain. L’implantation du vote électronique découle d’une entente entre les groupes parlementaires adoptée au début de la 43e législature. Le processus de vote électronique a été intégré officiellement au Règlement de l’Assemblée nationale.
Les députées et députés voteront en présentiel à l’aide d’un boîtier rattaché à leur pupitre. Leur choix sera affiché en temps réel sur les écrans de la salle de l’Assemblée nationale. Au terme de la période de vote, le secrétaire général communiquera oralement le résultat officiel à la présidence et le vote sera inscrit au procès-verbal, comme c’était le cas auparavant.
Dans son rapport publié jeudi 7 septembre 2023, le CNDH a relevé un total de 260 incidents électoraux.
Quelques incidents recensés
Ces incidents concernent, entre autres, l’ouverture tardive de certains bureaux de vote, la destruction de matériel électoral, en particulier dans la région du Gboklê à Labakkuya, le dysfonctionnement des tablettes biométriques, l'absence de personnel dans certains bureaux de vote, des actes de violence physique envers des représentants de candidats, notamment dans le Haut Sassandra. Pr. Namizata Sangaré, note toutefois que dans l’ensemble, le scrutin du samedi dernier s’est déroulé dans un climat relativement calme et apaisé.
Le président Vladimir Poutine a voté en ligne samedi aux élections régionales réparties sur trois jours en Russie, en appelant les Russes à suivre son exemple et participer au vote.
«J'appelle les habitants des régions où les élections se déroulent actuellement, à participer», a lancé M. Poutine dans une vidéo diffusée par le Kremlin.
«D'autant plus que les procédures électorales sont organisées dans notre pays de la manière la plus confortable possible», a ajouté le président russe, assis devant un ordinateur dans son bureau.
Quoique partiels, des scrutins sont organisés sur la quasi-totalité du territoire russe. Alors que la guerre bat son plein en Ukraine, elles vont constituer un baromètre important pour le Kremlin, à six mois de l’élection présidentielle de mars 2024. Les quatre régions ukrainiennes occupées et annexées par Moscou élisent également des représentants.
Les élections qui se tiennent en Russie du 8 au 10 septembre – ce dimanche étant considéré comme le jour principal du vote – sont les deuxièmes organisées depuis le début de la guerre en Ukraine. Et elles ont lieu un an précisément après les référendums d’intégration à la Fédération russe qui se sont tenus, à la fin de septembre 2022, dans quatre régions ukrainiennes : les Républiques populaires autoproclamées de Donetsk (RPD) et de Louhansk (RPL), et dans les territoires occupés par les forces russes des régions de Kherson et Zaporijjia.
Le oui l’avait emporté partout à une écrasante majorité, mais la légalité de ces consultations ainsi que leurs résultats n’ont pas été reconnus par la communauté internationale.
Européennes 2024. La plateforme EurHope recueille 3 500 propositions de jeunes des 27 pays de l’UE
Pour mobiliser les jeunes avant les élections européennes, deux organisations (Make.org et JEF Europe) leur ont proposé de participer à une grande consultation citoyenne, « EurHope ». 3 500 propositions ont été collectées. La consultation se terminera fin septembre.
newsletter dédiée.
La plateforme de mobilisation citoyenne Make.org et l’association des Jeunes Européens Fédéralistes (JEF-Europe) ont annoncé avoir déjà collecté 650 000 votes et 3 500 propositions de jeunes issus des 27 États membres de
Enfin, alors que le Vlaams Belang progresse fortement dans les sondages, M. Magnette réaffirme la position du PS, à savoir qu'il n'y aura pas de négociations avec le parti d'extrême droite. "S'ils veulent l'indépendance, qu'ils organisent un référendum. C'est la seule procédure démocratique. Et peut-être que le moment est venu de le faire. Je le pense vraiment. Selon moi, 80 à 90% des Flamands diront 'non'. Ce débat pourra alors être définitivement jeté à la poubelle."
Varsovie envisage d’organiser un référendum sur le respect du programme de redistribution des migrants de l’UE le jour des élections générales de cet automne, a annoncé le parti au pouvoir Droit et Justice (PiS) le lundi 19 juin. Aujourd’hui, les diplomates à Bruxelles craignent qu’un tel vote ne déclenche un mouvement similaire au Brexit en Pologne, a rapporté Mandiner mardi.
L’idée de soumettre le nouveau pacte européen sur les migrations à un référendum a été proposée pour la première fois par Jaroslaw Kaczynski, chef du PiS, au parlement polonais la semaine dernière, arguant que son pays avait déjà accueilli jusqu’à 2 millions de réfugiés ukrainiens et qu’il serait injuste de le forcer à accueillir davantage de migrants ou à payer à la place.
La récolte de signatures contre rémunération pour une initiative populaire ou un référendum ne doit pas être interdite, selon la commission compétente du Conseil national. Elle propose, par 14 voix contre 8 (et 2 abstentions), de ne pas donner suite à une initiative parlementaire de la verte vaudoise Léonore Porchet.
La Chambre du peuple a déjà refusé en 2021 un texte similaire de l'ancien député Mathias Reynard (PS/VS). Ce dernier avait soulevé le problème à la suite des récoltes de signatures contre la norme pénale anti-homophobie.
Samedi dernier, le président de l’Observatoire national de la société civile (ONSC), Noureddine Benbraham, a déclaré depuis Ghardaïa que le forum de la société civile pour le dialogue, la citoyenneté et le développement local est un mécanisme conçu pour promouvoir la démocratie participative et renforcer le principe de la bonne gouvernance.
Lors du lancement des forums de la société civile pour
Le forum de la société civile pour le dialogue, la citoyenneté et le développement local est un mécanisme visant à mettre en œuvre la démocratie participative et à consacrer le principe de bonne gouvernance, a déclaré samedi depuis Ghardaïa le président de l’Observatoire de la société civile (ONSC), Noureddine Benbraham. .
S’exprimant lors du lancement des
Un juge de la Cour suprême du Brésil a ordonné vendredi l’ouverture d’une enquête contre Google et Telegram, accusés de «campagne abusive» contre un projet de loi anti-désinformation.
Le juge Alexandre Moraes a ordonné à la police fédérale de convoquer dans les 60 jours les responsables au Brésil des deux entreprises, qui s’opposent au gouvernement dans ce dossier. Inspiré du Règlement européen sur les services numériques (DSA), le projet de loi présenté en 2020 pour combattre la désinformation en ligne attend d’être voté par les députés brésiliens. Le texte prévoit
Des citoyens volontaires, enregistrés auprès des différents partis politiques turcs, sont mobilisés dans les bureaux de vote dimanche, alors que le pays choisit son futur président et renouvelle son Parlement.
Le rendez-vous a été donné aux aurores. Dimanche 14 mai, des dizaines de milliers d'assesseurs et d'observateurs sont mobilisés à travers toute la Turquie pour ouvrir les bureaux de vote et donner le coup d'envoi du premier tour des élections législatives et de la présidentielle. Un scrutin sous haute tension, qui pourrait signer la fin des deux décennies de règne de l'AKP, le parti islamo-conservateur du président sortant Recep Tayyip Erdogan.
Le résultat fait réfléchir que les partis de gauche n’aient même pas pu atteindre les performances du TIP dans les années 60, ainsi que les résultats controversés du vote du 14 mai qui ont pulvérisé les sondages d’opinion.
Les élections présidentielles et parlementaires qui se sont tenues hier en Turquie, qui fondaient de grands espoirs non seulement sur le peuple turc mais aussi sur les pays voisins, qui subissent l’invasion, les attaques et les menaces constantes de l’armée turque, semblent avoir réservé des surprises, voire bien qu’on s’attendait à ce qu’ils aboutissent à une grande victoire de l’opposition.
Bien que les attentes du premier tour ne se soient pas réalisées, le fait qu’il soit clair que Recep Tayyip Erdoğan pourrait être renversé au second tour
Élections en Turquie : les cinq choses à savoir sur cette importante échéance
1. La démocratie turque en jeu
Depuis vingt ans, Recep Tayyip Erdogan truste les plus importants mandats au coeur de l'exécutif turc. D'abord Premier ministre, dès 2003, il enfile la casquette de président en 2014. Le leader conservateur issu du parti nationaliste et islamiste, l'AKP, n'a cessé de tout faire pour se hisser comme l'homme providentiel de la nation.
Bien qu'omnipotent, la contestation populaire se fait
Après le parlement bruxellois et le parlement de la Communauté française, c’est au tour des parlements flamand et wallon de discuter des propositions de modification du règlement pour répondre à la condamnation de la Cour européenne des droits de l’homme. « En cas de contestation lors des élections, en Wallonie, la majorité PS-MR-Ecolo propose de tirer au sort les députés qui composent la commission de vérification
Nature Après plus de dix ans de combat, les écologistes ont obtenu satisfaction. Les citoyens vont pouvoir se prononcer sur cette question.
Une première étape (peut-être) vers la victoire. La Cour constitutionnelle de l’Équateur a donné mardi le feu vert à la convocation d’un référendum, réclamé par les écologistes depuis dix ans, sur la poursuite de l’exploitation pétrolière de la célèbre réserve naturelle de Yasuni en Amazonie.
En 2013, l’association écologiste Yasunidos avait demandé à la Cour d’autoriser la tenue d’un référendum sur l’exploitation des champs pétrolifères ITT, situés à l’une des extrémités du parc de Yasuni, dont le million d’hectares de forêt humide constitue une réserve mondiale de biodiversité. Cette même année, le président de gauche Rafael Correa (2007-2017) avait approuvé cette exploitation pétrolière après avoir vainement tenté de faire compenser par un plan international de 3,6 milliards de dollars la non-exploitation du gisement au nom de la protection de l’environnement. Elle avait débuté en 2016.
Débats sur le plan d’action communal et les mécanismes de la démocratie participative
Un aréopage d’experts, d’élus communaux, de représentants de divisions des collectivités territoriales, et de responsables de services préfectoraux issus de la région Beni Mellal- Khénifra se sont donnés rendez-vous, vendredi à Marrakech, dans le cadre du premier forum régional sur le plan d’action communal et les mécanismes de la démocratie participative.
Lors d’une réunion d’information du ministère, il a déclaré que élections le 2 avril se tiendront sur le territoire de 62 pays. Les pays les plus sections devraient être ouvertes en Turquie (plus de 160), au Royaume-Uni (115), en Allemagne (74), en Espagne (64) et aux États-Unis (56).
Aujourd’hui, lors d’une réunion de la commission électorale centrale, le vice-président de la commission électorale, Tsvetozar Tomov, a déclaré qu’à l’heure actuelle, trois pays – l’Autriche, la Suisse et la Norvège – n’ont pas donné l’autorisation d’ouvrir des sections. La CEC devrait annoncer l’ouverture de sections dans les pays suivants sections à condition d’attendre l’approbation. Si celle-ci n’est pas accordée, nos compatriotes dans ces pays ne pourront pas voter.
Anastasov a ajouté que nos compatriotes à l’étranger ont
Analyse · Expérimentée depuis deux décennies sur le continent, la biométrie n’a pas permis d’améliorer la sincérité des élections. Pourtant, malgré son coût prohibitif, elle continue de faire des émules, pour le plus grand bénéfice des firmes (notamment françaises), qui voient là une belle opportunité de gagner des marchés prometteurs.
Lors des dernières élections au Nigeria, le 25 février 2023, les électeurs qui se sont présentés au bureau de vote ont dû se soumettre à un contrôle biométrique de leur identité. Le système d’accréditation des électeurs, le Bimodal Voter Accreditation System, ou BVAS, utilise à la fois les empreintes digitales et la reconnaissance faciale. La biométrie électorale est censée empêcher les votes multiples. Difficile de dire si elle a eu les effets escomptés. Doit-on interpréter le faible taux de participation (27 %), le plus bas de l’histoire du pays, comme le signe de l’élimination des votes multiples par le BVAS ? Ou comme le résultat d’une désaffection pour des élections ?1
Autre nouveauté pour les élections de 2023 : la mise en ligne immédiate des
Le chantier du quartier des Casernes progresse et, avec lui, celui de la nouvelle bibliothèque de la Ville de Namur. La ville implique les citoyens dans le choix du nom de celle-ci.
”L’Enjambée, la Confluence, le Delta… Trouver un nom est une étape essentielle dans le processus de mise en place d’un projet. Ce nom donnera une identité au lieu et participera à l’appropriation de celui-ci par les usagers et usagères”, indique la ville de Namur.
La nouvelle plateforme de participation citoyenne de la Ville de Namur lance son coup d’envoi avec cet appel à idées. Rendez-vous sur monopinion.namur.be, la clôture de l’appel à idées est prévue pour le 21 mai 2023. Un jury se réunira pour sélectionner 4 propositions parmi celles déposées. Celles-ci seront ensuite soumises au vote citoyen à partir du 23 mai. À la fin du processus, le nom plébiscité sera dévoilé !
A propos du bâtiment, la ville indique : “La future bibliothèque sera dotée d’équipements technologiques de pointe. Les espaces dédiés...
Terminé, le projet de nouvelle Constitution était validé mardi par l’assemblée constituante à 69%. Sans atténuer pour autant les divisions entre le Haut-Valais et le Valais romand.
La cloche sonne pour la toute dernière fois. La séance est levée. Après quatre ans et demi de travaux, l’aventure de la constituante est terminée. Mardi après-midi, les 130 élues et élus ont validé leur copie. Engagés à la révision du texte fondateur de notre canton, ils et elles le remettent désormais en mains du peuple. Ce sera lui, et lui seul, qui l’avalisera ou non, a priori en mars 2024.
Les élections en Turquie vont se dérouler dans des conditions « très difficiles » du fait de « l’état de la démocratie » dans le pays et des conséquences du séisme du 6 février, estime le chef des observateurs du Conseil de l’Europe.
Le président sortant Recep Tayyip Erdogan, au pouvoir depuis 20 ans, sollicite un nouveau mandat le 14 mai, lors de ce scrutin qui verront les Turcs désigner aussi leurs députés.
Début mars, le chef de l’Etat a décidé de maintenir la double consultation à la date du 14 mai en dépit du terrible séisme qui a dévasté le 6 février des villes entières et fait plus de 50 000 morts dans le sud-est du pays.
Le Conseil de l’Europe, vigie des droits humains sur le continent et dont la Turquie est membre, enverra 42 députés de son Assemblée parlementaire afin d’observer les opérations de vote, indique lors d’un entretien à l’AFP le chef de la délégation, le député allemand (SPD) Frank Schwabe.
« Les élections se déroulent dans un contexte très difficile à cause de l’état de la démocratie. La situation des droits de l’homme, de l’Etat de droit, n’est pas telle que nous la voulons » au Conseil de l’Europe, un organe qui rassemble 46 Etats, estime-t-il.
Le scrutin s’est déroulé ce samedi matin. 26 électeurs étaient appelés aux urnes, pour donner notamment la possibilité au président du pays autoritaire de rester au pouvoir jusqu’en 2040, à condition de remporter des élections successives.
Vingt-six électeurs ouzbeks, domiciliés dans la grande région lyonnaise, étaient appelés aux urnes samedi matin… dans une école de mode privée située à Lyon. Le référendum constitutionnel de l’Ouzbékistan, pays le plus peuplé d’Asie centrale (près de 35 millions d’habitants), s’est tenu localement à SupdeMod, rue Paul-Montrochet, entre 8 h 30 et quasiment 15 heures.
Fiasco pour les élections municipales partielles du Nord Kosovo dimanche 23 avril: la participation n'a pas atteint les 5 %.
Pourtant, le scrutin est valide d'un point de vue légal, ce qui pourrait alimenter de nouvelles tensions dans cette région traditionnellement instable des Balkans, car si les résultats sont respectés, des candidats albanophones prendraient le pouvoir dans ces régions constituées à quasi-totalité de populations serbes.
Le taux de participation aux élections municipales pour les quatre mairies du Nord Kosovo était de 3,47 % : sur les 45 000 serbes qui constituent la quasi-totalité de la population du Nord, seuls 13 ont glissé un bulletin dans l'urne. Le boycott du scrutin a été unanimement suivi. Le reste des votants, environ 1 500 Albanais, a fait le résultat.
Dans les quatre communes, des candidats albanophones l'emportent avec une poignée de voix : le parti Autodétermination du premier ministre Albin Kurti et le parti démocratique du Kosovo (PDK, formation historique de la guérilla des années 1990) sont en position de prendre la tête de communes peuplées de Serbes.
Les électeurs de l’Oklahoma se rendent aux urnes aujourd’hui pour se prononcer sur une mesure qui légaliserait le cannabis pour les adultes.
La mesure permettrait aux adultes de 21 ans et plus d’acheter et de posséder jusqu’à une once de cannabis (28 grammes), de cultiver jusqu’à six plantes matures et six plantes en croissance pour leur usage personnel. L’actuelle Oklahoma Medical Marijuana Authority serait chargée de réglementer le programme et de délivrer les licences d’exploitation du cannabis.
Une taxe d’accise de 15 % serait imposée sur les produits à base de cannabis à usage adulte, et les recettes seraient versées à un « Oklahoma Marijuana Revenue Trust Fund« , un fonds d’affectation spéciale de l’Oklahoma pour le cannabis.
BEYROUTH (Reuters) - Le Liban a récupéré son droit de vote à l'Assemblée générale des Nations Unies après avoir réglé les cotisations pour 2022 et 2023, a déclaré mardi le ministère des Affaires étrangères, après que le pays, qui traverse une profonde crise financière, a perdu ses droits pour la deuxième fois en trois ans.
Le secrétaire général de l'Onu, Antonio Guterres, avait annoncé dans une lettre en janvier que Liban, la République dominicaine, le Gabon, la Guinée équatoriale, le Soudan du Sud et le Venezuela avaient perdu leur droit de vote à l'Assemblée générale des Nations unies.
Pour récupérer son droit de vote, le Liban devait s'acquitter d'une quote-part s'élevant à environ 1,8 million de dollars (1,69 million d'euros), selon la lettre.
Le ministère des Affaires étrangères libanais n'a pas précisé le montant réglé par le Liban.
BEIJING, 7 mars (Xinhua) -- "Si le peuple n'est réveillé que pour voter mais qu'il s'endort ensuite, ce n'est pas une vraie démocratie."
Ce scénario dépeint dans un livre blanc publié en 2021 et intitulé "La Chine : une démocratie qui marche" où les gens ont le droit d'élire, mais pas de participer, n'a jamais eu lieu en Chine. Pour les Chinois, l'histoire tourne toujours autour de leur participation aux élections démocratiques, aux consultations, à la prise de décision, à la gestion et au contrôle conformément à la loi, formant ce que l'on appelle la démocratie populaire sur l'ensemble du processus.
Quels sont les aspects les plus marquants de cette idée ? Comment la Chine la met-elle en pratique ? La démocratie chinoise est-elle vraiment, comme l'ont affirmé à plusieurs reprises les médias occidentaux, une simple formalité ? Les sessions annuelles de l'Assemblée populaire nationale (APN) et de la Conférence consultative politique du peuple chinois (CCPPC) devraient constituer une importante fenêtre pour y répondre.
Début mars 2023, les cantons de Bâle-Ville, Saint-Gall et Thurgovie ont reçu l’autorisation de reprendre des essais de vote électronique. Dès aujourd’hui, et pour un temps illimité, tout un chacun a la possibilité de simuler un vote sur la plateforme mise en ligne par la Poste suisse.
«Aimez-vous le temps ensoleillé?». «Aimez-vous le temps pluvieux?». Tels sont les sujets sur lesquels vous devrez voter si vous testez la plateforme de vote électronique de la Poste suisse. Deux questions somme toute futiles, dont le seul but est de permettre de se familiariser avec la procédure.
Car, dès les votations du 18 juin, les Suisses de l’étranger des cantons de Thurgovie, de Saint-Gall et de Bâle-Ville – ainsi que les personnes en situation de handicap dans ce dernier – pourront voter électroniquement avec ce système. Cela représente environ 65'000 personnes.
Après plusieurs années d’attente, la Suisse fait de nouveau le pari du vote électronique. Utilisé pour la dernière fois en 2019, il avait été mis hors service en raison de lacunes en matière de sécurité, au grand dam de la diaspora suisse dans le monde.
Ribambelle de codes
Sur la page d’accueil du système de test, les différentes étapes à suivre sont détaillées avec, pour chacune, des précisions sur la manière dont le vote se passerait dans la réalité.
Ainsi, il faut télécharger une pseudo carte de légitimation (ou carte de vote) sur laquelle figurent plusieurs codes. Lors du processus réel, cette carte, ainsi que le matériel de vote, est envoyée par courrier par les cantons.
Lors du référendum, les communautés scolaires suivantes se prononcent sur l’adhésion de leur école à la Commission scolaire des Premières Nations :
- École Del-Van-Gorder, Faro
- École Eliza-Van-Bibber, Pelly Crossing
- École Ghùch-Tlâ, Carcross
- École Kluane Lake, Destruction Bay
Assemblée publique virtuelle – Référendum
Élections Yukon tiendra une assemblée publique virtuelle le jeudi 23 février, à 18 h 30. Des représentants officiels pourront répondre à vos questions sur le processus référendaire pour les communautés scolaires qui tiennent un vote afin de déterminer si leur école se joindra à la Commission scolaire des Premières Nations.
Le vote électronique aura lieu du 22 au 28 mai.
Aujourd’hui, 7 mars, à Volgograd, le comité d’organisation du vote préliminaire de “Russie unie” a commencé ses travaux. La première réunion s’est tenue sur le site du Comité exécutif régional du parti.
Dans notre région, le vote préliminaire se tiendra en format électronique selon le premier modèle, ouvert au maximum, lorsque tous les électeurs inscrits sur le territoire pourront voter. Vous pouvez vous inscrire du 17 avril au 26 mai et les candidats seront nommés du 8 mars au 27 avril.
Vous avez parfois des idées, des projets ou des remarques, que vous aimeriez faire parvenir à votre commune? Neuchâtel va vous en donner l’occasion, à travers des assemblées citoyennes. La commune souhaite ainsi faire fleurir la démocratie participative. Nous accueillons, pour en parler, Thomas Facchinetti, conseiller communal chargé de la cohésion sociale.
Réunion extraordinaire du Groupe des Organisations de la société civile 30/03/2023 CESE Bruxelles Belgium
Le 30 mars 2023, le groupe des organisations de la société civile du Comité économique et social européen (CESE) organisera une conférence hybride intitulée «Les organisations de la société civile défendant et renforçant la démocratie européenne».
Dans le programme de travail de la Commission européenne pour 2023 on peut lire: La stabilité, la sécurité et la prospérité de notre Union reposent largement sur la défense de nos valeurs et institutions démocratiques. Nous devons donc continuer sans relâche à défendre nos droits fondamentaux et nos valeurs communes telles que l’égalité et l’état de droit, et à agir pour protéger les fondements de nos sociétés libres et démocratiques, dont le pluralisme et la liberté des médias.
Longtemps espoir de la démocratisation de la région MENA, la Tunisie poursuit sa chute dans le classement mondial de la démocratie, et ce d’après le Democracy index publié chaque année par le groupe de réflexion The Economist Unit.
Classée pendant 7 ans dans la catégorie des « démocraties imparfaites », la Tunisie a régressé en 2021 et a été classée dans celle des « régimes hybrides », ayant selon les auteurs, « des éléments de la démocratie, mais qui souffrent de faiblesses plus prononcées qui les rendent inéligibles pour une catégorie supérieure ».
La chute continue en 2022 pour se classer 85e sur 167 (-10 places). Désormais la Tunisie fait partie des 10 pires performances de l’année, aux côtés de la Russie, du Burkina Faso ou encore de l’Irak.
Le projet de la construction du deuxième aéroport sur l’île méridionale de Jeju devrait s’accélérer. Il consiste à bâtir une structure munie d’une piste de 3,2 km sur une surface de 5,4 millions de m² à Seongsan à l’est de la péninsule insulaire.
Le ministère de l’Environnement a donné hier son approbation conditionnelle au rapport de l’évaluation de ses impacts sur l’environnement, remis par le ministère de l’Aménagement du territoire et des Transports. Il a déjà renvoyé son document en juillet 2021 pour plusieurs raisons, dont le manque de dispositifs sur la protection des oiseaux et leurs habitats ainsi que l’examen insuffisant sur la nuisance sonore générée par les avions.
Pr Mody Gadiaga, professeur de droit à l’Université tranche la question du 3e mandat. Dans des termes claires et simples, le constitutionaliste a éclairé sur le débat « quinquennat ou 3e candidature ». Le professeur explique que personne « ne doit ne distinguer là où la loi ne distingue pas ». Et par conséquent, l’actuel président tombe sous le coup de cette loi de 2012 et de l’article 27.
« Dans le débat sur la question du 3e mandat, tous les débats se focalisent sur l’article 27 au terme duquel » nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs. Cette disposition est claire et sans distinction de la durée des mandats qui sont en cause », a d’emblée fait savoir Mody Gadiaga.
« Et donc puisqu’il y a un maxime d’interprétation qui a la valeur de principe général du droit, maxime en vertu de laquelle, il est interdit de distinguer là où la la loi ne distingue pas.
Le SSP a remis lundi sa pétition à la Chancellerie de l'Etat de Fribourg. Les signataires demandent au Conseil d'Etat de revoir son projet.
La branche fribourgeoise du Syndicat des services publics (SSP) a déposé lundi une pétition munie de 2242 signatures contre la stratégie d'éducation numérique de l'école obligatoire du canton de Fribourg. Elle invite le gouvernement et le Grand Conseil à revoir la copie.
La pétition "invite les députés du Grand Conseil à 'demander à la Direction de la formation et des affaires culturelles (DFAC) de revoir son projet et d'associer le corps enseignant et les parents d'élèves à l'élaboration d'une stratégie EdNum qui prenne réellement en compte les aspects pédagogiques, sociaux et écologiques en jeu'", indique la Chancellerie cantonale dans un communiqué.
Excédé par une nouvelle menace de recours judiciaire, le maire de Québec, Bruno Marchand, demande au groupe antitramway Québec Mérite Mieux de capituler, de cesser d’être «un boulet» et de «passer à autre chose».
Après avoir échoué dans sa tentative de bloquer le projet, en Cour supérieure, le groupe Québec Mérite Mieux (QMM) envisage désormais de déposer une ou plusieurs demandes d’autorisation pour un recours collectif afin d’indemniser «tous ceux qui subiront les conséquences néfastes du tramway» et à qui on a refusé «le droit de référendum», peut-on lire sur son site web.
(rfi)- Au Mali, le référendum constitutionnel aura-t-il lieu le 19 mars prochain, comme prévu ? Les autorités de transition n’ont fait aucune annonce, ni sur un report qui semble pourtant inévitable, ni sur un maintien coûte que coûte de la date programmée.
Les conditions techniques et légales pour l’organisation du référendum dans deux semaines ne sont pas réunies. Pour qu’il ait lieu le 19 mars, le collège électoral aurait dû être convoqué le 17 février dernier. Il ne l’a jamais été.
Mme Bouaré Bintou Founé Samake, qui était ministre de la Promotion de la femme au début de la transition, préside aujourd’hui la Coalition pour l’observation citoyenne des élections au Mali (Cocem). Elle explique : « Cette non convocation rend la tenue du référendum impossible. C’est une disposition légale de la loi électorale. »
C’est aujourd’hui que les enseignants vont commencer le vote pour désigner les syndicats les plus représentatifs du secteur de l’éducation. Le vote, qui va continuer jusqu’au 13 mars, a la particularité de se dérouler en ligne. A l’issue de ce scrutin, les organisations, qui vont représenter le secteur aux instances de prise de décisions pour les 5 prochaines années, seront connues.
Par Dieynaba KANE – Les élections de représentativité syndicale dans le secteur de l’éducation et de la formation démarrent à partir d’aujourd’hui. Les enseignants ont jusqu’au 13 mars pour désigner les syndicats les plus représentatifs de ce secteur. Cette deuxième édition, qui intervient après celle de 2017, a la particularité de se dérouler en ligne. Si en 2017, ils étaient 32 syndicats à briguer les suffrages des électeurs, cette année, ils seront 35.
(APS) – Le ministre du Travail, du Dialogue social et des Relations avec les institutions, Samba Sy, a procédé lundi à Dakar au lancement officiel de la plateforme de vote électronique dénommée ‘’mirador’’ en perspective des élections de représentativité syndicale des enseignants démarrées ce lundi, a constaté l’APS.
‘’Le vote électronique est une grande innovation pour les élections de représentativité syndicale dans le secteur public de l’éducation et de la formation. Cette plateforme va permettre de manière efficace de déterminer les syndicats d’enseignants les plus représentatifs au préscolaire à l’élémentaire, au moyen-secondaire et dans les corps de contrôle’’, s’est félicité le ministre du Travail, du Dialogue social et des Relations avec les institutions.
Alors que la campagne électorale bat son plein à l’Île-du-Prince-Édouard, la Société acadienne et francophone de l’île, la SAF’Île, suivra de près les promesses électorales faites par les partis politiques. Pour l'organisme, l'accès à des services en français au sein de l'appareil gouvernemental ainsi que l'amélioration des soins de santé sont des priorités.
La directrice générale de la SAF’ÎLE, Isabelle Dasylva-Gill, soulève une préoccupation partagée par de nombreux insulaires, soit le manque d’accès à des services en santé.
Les Irlandais vont se prononcer par référendum en novembre sur le retrait de leur Constitution d'articles considérés comme «dépassés» sur la place des femmes, censée être «à la maison», a annoncé le gouvernement mercredi, journée internationale des droits des femmes.
Large majorité
Le texte ajoute que «les mères ne devraient pas être contraintes par les nécessités économiques à travailler au détriment de leurs tâches à la maison».
Dans le flot des nouvelles pétitions mises en ligne sur le site petitions.lu, deux concernent le domaine politique. La première sur l’âge des candidats et la seconde sur les modularités de vote.
Mises en ligne sur le site Petitions.lu, elles sont, certes, encore bien loin des 4 500 signatures indispensables pour espérer être débattue à la Chambre des députés ; cependant il leur reste encore 41 jours pour faire le plein.
À quatre mois des élections communales et huit des législatives, deux pétitionnaires entendent bien jeter un pavé dans la mare pour faire évoluer la législation luxembourgeoise sur le plan politique.
En perte de vitesse depuis la pandémie, vilipendée par les associations animalistes et une partie de la population, cette pratique fait l’objet d’âpres combats entre gauche et droite.
La tauromachie fait-elle intrinsèquement partie de l'identité espagnole ou bien est-elle une pratique anachronique et cruelle, qu'il convient d'extirper ? Le monde de la corrida a beau tenter de ne pas entrer dans ce débat, l'actualité est venue le rattraper et le confronter de nouveau aux menaces qui pèsent sur lui avec acuité depuis une bonne décennie.
En février, le Tribunal suprême a conclu que la corrida est « un bien immatériel du patrimoine espagnol », à la suite d'une plainte de la Fondation Toro de Lidia, qui défend les intérêts de ce spectacle dans le pays qui l'a vu naître. Cette dernière réagissait ainsi à la décision du ministère de la Culture d'exclure tout spectacle taurin du « chèque culture pour la jeunesse », une carte permettant à toute personne qui souffle ses 18 bougies de bénéficier, au cours de cette année, d'activités culturelles – cinéma, musique, théâtre, livres, etc. – pour une valeur de 400 euros.
Suite à l’annulation par le Conseil constitutionnel des élections législatives de juin 2022 dans les 2e, 8e et 9e circonscriptions des Français établis hors de France, des élections partielles seront organisées dans ces trois circonscriptions :
- les 1er et 2 avril 2023 pour le 1er tour (le samedi 1er avril dans la 2e circonscription) ;
- les 15 et 16 avril pour le 2e tour (le samedi 15 avril dans la 2e circonscription).
Ces élections concernent environ 340 000 Françaises et Français de l’étranger inscrits sur les listes électorales consulaires dans les pays de ces trois circonscriptions.
Vote à l’urne : 111 sites seront ouverts dans ces trois circonscriptions pour ces opérations de vote.
Les Monégasques sont appelés aux urnes dimanche 19 mars à l’Espace Léo Ferré.
L’Espace Léo Ferré sera le seul bureau de vote ouvert lors de ce rendez-vous démocratique. Les votants défileront ainsi en continu au 7 Terrasses de Fontvieille de 8 heures à 19 heures. Si vous êtes concernés, pensez à vous munir de votre carte d’identité ou passeport monégasque en cours de validité. À noter qu’aucune carte d’identité ne sera établie le jour des élections et que l’ancien modèle de la carte d’identité en cours de validité est valable pour voter.
Munissez-vous également de votre carte d’électeur. Elle est généralement envoyée par la Mairie à chaque électeur fin février. En cas de perte ou d’oubli de ce document, un duplicata pourra être remis sur place le jour du scrutin, au Bureau de la Nationalité.