Le résultat fait réfléchir que les partis de gauche n’aient même pas pu atteindre les performances du TIP dans les années 60, ainsi que les résultats controversés du vote du 14 mai qui ont pulvérisé les sondages d’opinion.
Les élections présidentielles et parlementaires qui se sont tenues hier en Turquie, qui fondaient de grands espoirs non seulement sur le peuple turc mais aussi sur les pays voisins, qui subissent l’invasion, les attaques et les menaces constantes de l’armée turque, semblent avoir réservé des surprises, voire bien qu’on s’attendait à ce qu’ils aboutissent à une grande victoire de l’opposition.
Bien que les attentes du premier tour ne se soient pas réalisées, le fait qu’il soit clair que Recep Tayyip Erdoğan pourrait être renversé au second tour