Mercredi 5 juillet, les députés ont voté en première lecture, la possibilité d’activer à distance, dans certaines enquêtes, les appareils connectés, comme les téléphones portables, à des fins de géolocalisation ou de captation de sons et d’images. Un dispositif qui n’est pas jugé « proportionnel aux libertés fondamentales » par la gauche, des associations de défense des libertés et des avocats.